I’m thinking of you
In my sleep
I know I could talk
The worst kind of sound
I know this things
Cannot be repaired
When I wake up
I’ll be in despair
Cos I know I’ve got to say
I know I’ve got to say
Goodbye baby goodbye
Goodbye baby goodbye
You’re my sweetheart goodbye
You’re my sweetest goodbye
I know I’m gonna look
So, so, so, so bad
But there’s no easy way
For me to have to walk away
But I don’t want to hear this no more
And I don’t want to feel this no more
And I don’t want to see this no more
And I don’t want to experience this no more
Cos I know I’ve got to say
I know I’ve got say
Goodbye baby goodbye
Goodbye baby goodbye
You’re my sweetheart goodbye
You’re my sweetest goodbye
GoodbyeYou’re my sweetest
Archive
je n'en peux plus je suis usée, usée par toute cette souffrance, usée d'être en vie, je veux mourir...
je me suis remutiler le bras gauche ce soir, cela me fait du bien puisque cela deplace la douleur au physique et plus au mental.
j'aimerai avoir de l'aide, du soutien, heureusement que j'ai Laurent Z. qui me tiens en vie et qui essaie de me faire espérer en un jour meilleur.
je suis si lasse si mélancholique, si stupide et laide.
aidez moi
Vivre dans un monde d'ignorance
Survivre dans un univers d'indifférence
Je ne peux plus je n'en puis plus
J'ai atrocement mal, un mal qui me ronge depuis
Trop longtemps j'ai souffert,
Trop longtemps j'errait en enfer
Je ne veux plus de cette existence
Je n'en puis plus de tant de souffrance
J'ai le cœur en lambeaux
L'âme qui se détériore et se fait bouffer par les corbeaux
Je suis a bout de force a bout de courage
Il me manque cette chose; la rage
Comment vivre dans une souffrance perpétuelle
Ce n'est plus une vie mais une errance éternelle
Je ne sais plus où je vais, qui je suis
Je tombe sans relâche dans un ténébreux puits
J'ai le sentiment que mon cœur va lâcher
Dans cet état catatonique je ne puis continuer
Je souffre au point de ne plus pouvoir verser de larmes
Dois je donc a jamais baisser les armes?
Il pleut sans cesse dans mon univers
Torpeur, solitude, détresse c'est mon ère
La feu qui a l'époque brillait en moi s'éteint
Oh souffrance indicible aux vitres sans tains
Enfermée dans une prison de verre
Seuls mes maux sortes en vers
J'ai la nausée de mon existence
Je suis usée par toute cette souffrance.
Tout le monde ment, nous sommes dans une société du paraitre
Je me cache donc derrière ce masque, seule, secrète.
Eloge d'une existence détériorée
Ebauche d'une vie inachevée…
Peu importe la mort, si elle stoppe tout ces maux
Qu'importe donc de paraitre et d'écrire sans relâche des mots
Mots qui ne servent a rien mis a part mentir
Je ne peu plus vivre dans cette antre du pâtir
Qu ai-je donc fait pour mériter une telle vie?
Criminelle de vouloir être trop parfaite et puis…
J'ai mal, je souffre, je hurle en silence
Je saigne dans mon être, bien trop de nuisances.
Je ne peux plus respirer
Je suis si fatiguée
Chaque souffle me fait souffrir
Chaque souffrir me fait peu a peu périr
Je saigne, je saigne, je saigne
Quand serai-je plus sereine
Est seulement possible?
Quand une souffrance devient indicible.
Les mains en sang, les bras en tourments
J'erre sans relâche dans l'enfermement
Prisonnière d'une prison de vitres coupantes
Cloisonnée dans une existence terrifiante.
Je meurs
maison brisée au cœur de la nuit,
fenêtre cassée perdue dans l'oubli,
j'erre dans l'astre terrestre d'une vie inhumaine
dans l'utopique espoir d'une existence plus sereine
cœur au cafard
teint si blafard
portes ce masque du paraître illusoire
afin que personne ne te recherche dans le noir
masque de souffrance et de torpeur
n'oublie pas que sans toi je ne suis que terreur.
je suis ta protection et tu es mon hôte
sans toi je ne suis rien mais sans moi toi tu sautes,
dans le vide cruellement réaliste,
ce vide qui a la fois te révulse et t'attire.
comment trouver son chemin avec une âme d'utopiste
quand on apprend que ce mot n'est que vaine satire.
Oh temple de la souffrance,
adorable insolence
tu me tourmentes et m'enchantes
quand tu me sers dans ton ventre.
qu'attends tu de moi Infamie?
que je me noie dans ta panse de la nuit?
que je me perde dans ton lacis sournois...
ou que je ne me réveille pas de mes émois?
J'ai mal quand tu parles, j'ai mal quand tu souris,
je souffre quand tu te tais et je pâtis quand tu revis.
qu'ai je donc fais a la haute suprématie pour mérité tout cela.
je ressasse sans cesse cet éternel débat:
ai je torts ai je raison,
suis je folle ou saine de raison?
Suis je bonne ou mauvaise,
véritable nuisance qui a tout le monde pèse?
Je ne sais pas, je ne sais plus,
sans doute est ce la raison qui m'a fait faubond...
qui je suis, ou je vais, où je me situe,
tout cela me rendant si moribond.
Au Dieu que j'ai froid!
Au plus profond de mes viscères,
dans mon ventre, ma tête et mon entier univers.
Tremblant sans fin sous un poison narquois.
Prison de verre au verre sans tain
lacérant mes chairs, mes bras et mes mains
maison brisée au cœur de la nuit,
fenêtre cassée perdue dans l'oubli.
je me sens comme emprisonnée dans une prison de verre, un verre sans tain ou personne ne me voit ou personne ne m'entend, prisonnière de mes propres maux, j' ai mal, je souffre en silence, le mutisme de la souffrance trop importante.
j'ai mal cela me cisaille l'âme, cela me dechiquete le coeur, cela me brule de l'interieur, cela me glace en même temps de solitude.
seule j'évolue dans cette prison de verre, cette prison sans porte de secours, sans issue par la meme occasion. alors je frappe je hurle mais je suis ligoté par mes maux, alors je pense et je panse, et quand je panse je pense encore.... satanée cercle viscieux.
le temps s'est arrêté pour moi, mais pas pour les gens a l'exterieur de cette prison, ces gens que je vois souriant rigolant... cela me fait mal.
IMPUISSANCE TOTALE
alors je sourie pour ne pas que l'on remarque mes maux et peut être qu'en sopuriant cela ira mieux... mais c'est un faux sourir, un sourir remplie d'amertume de souffrance et de mensonges. je sourie pour que les autres ne souffrent pas. non je ne suis pas égoïste, je dirait même plutôt altruiste... sans doute trop.
ET J'AI MAL TANT J'AI MAL, ET JE SOUFFRE TANT JE SOUFFRE
Dans une terre grasse et pleine d'escargots
Je veux creuser moi-même une fosse profonde,
Où je puisse à loisir étaler mes vieux os
Et dormir dans l'oubli comme un requin dans l'onde.
Je liais les testaments et je hais les tombeaux ;
Plutôt que d'implorer une larme du monde,
Vivant, j'aimerais mieux inviter les corbeaux
A saigner tous les bouts de ma carcasse immonde.
— O vers ! noirs compagnons sans oreille et sans yeux,
Voyez venir à vous un mort libre et joyeux ;
Philosophes viveurs, fils de la pourriture,
A travers ma ruine allez donc sans remords,
Et dites-moi s'il est encor quelque torture
Pour ce vieux corps sans âme et mort parmi les morts ?
Le mort joyeux, Charles Baudelaire
Ce matin je me suis de nouveau réveillée… et de nouveau les pensées me tourmentants tant sont venues me hanter.
Lancinantes douleurs innommables.
Je me suis donc réveillée et j'ai vêtis mon éternel masque du paraitre illusoire du « je vais bien ne t'en fais pas ». Mais je ne vais pas bien, vraiment pas bien. Je me sens mourir a petit feu, mourir a chaque inspiration et a chaque expiration, mourir au rythme de mes trémulations cardiaques et respiratoires. Une mort qui n'en ai pas une, une sorte d'enfer au quotidien.
infernum in terra.
Chaque jour je porte ce masque et chaque nuit cela me détruit d'avantage, je suis anéantie. Je pompe telle une éponge la souffrance environnant, et cela me fait atrocement mal. Pianotant sur mon clavier je déverse mes pensées, mes maux indicibles car aucuns mots n'est suffisant dans leur puissance qualificative. Lorsqu'aucun mot ne peut être prononcé pour extirper sa souffrance de son mental, comment vivre comment survivre? J'hère dans une ère bien trop austère. Je suis si perdue dans mes pensées.
Pascal disait sur l'égarement de l'homme qu' « En voyant l'aveuglement et la misère de l'homme, en regardant tout l'univers muet et l'homme sans lumière abandonné à lui-même, et comme égaré dans ce recoin de l'univers sans savoir qui l'y a mis, ce qu'il y est venu faire, ce qu'il deviendra en mourant, incapable de toute connaissance, j'entre en effroi comme un homme qu'on aurait porté endormi dans une île déserte et effroyable, et qui s'éveillerait sans connaître et sans moyen d'en sortir. Et sur cela j'admire comment on n'entre point en désespoir d'un si misérable état. Je vois d'autres personnes auprès de moi d'une semblable nature. Je leur demande s'ils sont mieux instruits que moi. Ils me disent que non et sur cela ces misérables égarés, ayant regardé autour d'eux et ayant vu quelques objets plaisants s'y sont donnés et s'y sont attachés. Pour moi je n'ai pu y prendre d'attache et considérant combien il y a plus d'apparence qu'il y a autre chose que ce que je vois j'ai recherché si ce Dieu n'aurait point laissé quelque marque de soi. »
Je ne suis rien je ne suis personne, je suis déjà morte bien qu'encore en vie, la souffrance est trop forte et les bonheurs bien trop rarissimes. Je suis seule, d'une solitude nauséeuse